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Voici les jeunes chefs de file qui représentent l’avenir de notre industrie


Wayne Johnson, Armstrong, Colombie-Britannique

Sur le fait de se joindre à l’industrie ovocole avec le soutien des producteurs d’œufs de sa communauté :

« J’avais l’intention d’apprendre à connaître les différents éleveurs de poules pondeuses, leurs expériences, la taille et le type de leur exploitation et de visiter leurs installations pour voir ce que je devais faire pour notre exploitation. »

Kate Van Deynze-Fleming, Holland, Manitoba

Sur le fait de travailler à la ferme avec ses enfants :

« Ça devient plus facile à mesure qu’ils grandissent, et maintenant, ils assument plus de responsabilités. Je désire que mes enfants aient les mêmes possibilités que moi. C’est pour cette raison qu’on le fait, qu’on bâtit cette entreprise. »

 Sur la conversion de leur ferme laitière en ferme ovocole :

« Quand nous sommes allés à des rencontres et que nous avons dit aux gens que nous voulions être opérationnels dans un délai de cinq mois, certaines personnes ont ri. Elles ne croyaient pas que nous pouvions le faire, mais mon père avait un plan et nous avons réussi. »

Megan Veldman, St. Marys, Ontario

Sur le travail en famille :

« Nous gérons chacun de notre côté une partie de la ferme, mais nous nous réunissons souvent pour discuter avant de prendre des décisions importantes. Mon père dit qu’il n’a pas construit la ferme juste pour que ses fils prennent le relais. »

Daniel Schuring, Barrhead, Alberta

Sur ce qu’il souhaite retirer de sa participation au Programme national des jeunes producteurs :

« Je suis encore nouveau dans ce domaine et j’aimerais en apprendre davantage sur la gestion de l’offre ainsi que sur le fonctionnement des coulisses de l’industrie. »

Ian Laver, Castleton, Ontario

Sur ce qu’il préfère de la vie de producteur :

« Être mon propre patron et établir mon propre horaire au quotidien. »

 Sur ce qui rend le programme national des jeunes producteurs unique :

« Apprendre les rouages de l’entreprise. »

Trevor Pickard, Saskatoon, Saskatchewan

Sur sa participation au Programme national des jeunes producteurs cette année :

« Étant un jeune producteur qui se lance dans l’industrie, j’aimerais en apprendre davantage à ce sujet et c’est [le Programme national des jeunes producteurs] la meilleure façon pour moi de le faire. »

Sur l’apprentissage du métier de producteur de sa famille élargie :

« Au cours de cette première année, ils m’ont ouvert les portes de leurs poulaillers, m’ont montré ce que je devais faire, les erreurs qu’ils avaient commises et ce que je pouvais améliorer. »

Charles-Éric Bouchard, Saint-Gédéon-de-Beauce, Québec

Sur la façon dont il a appris le métier de producteur dans son enfance :

« En travaillant à temps plein dans les champs pendant l’été. »

 Sur le fait de faire partie d’une exploitation agricole en pleine expansion :

 « Ma vision de la production a beaucoup changé et m’a permis de créer un emploi que j’aime… Comme je viens de quitter l’école, j’aime avoir la liberté d’expérimenter, de comparer, d’analyser et de repousser les limites de ce qui a été fait auparavant. Pour l’instant, je veux mettre le meilleur de moi-même dans la production d’œufs et maximiser l’efficacité des fermes. »